- Éditeur Electronic Arts
- Développeur Criterion Studios
- Sortie initiale 23 mars 2007
- Genre Course
Un volet de la saga des Burnout provoque toujours un émoi chez les adeptes de conduite à risque. Laissez de côté vos contraventions pour excès de vitesse. Oubliez les radars fixes et autre jumelles castratrices. Ici, les hommes qui conduisent avec les hormones sont reconnus et élevés aux rangs de héros. Burnout Dominator met plus que jamais vos talents de pilote à l'épreuve. Il en oublie par la même en cours de route le dantesque mode Crash. Déçu de ne pas pouvoir provoquer de carambolages ? Montez quand même faire un tour, vous ne le serez pas longtemps.
Glissez pour gagner.
Flashback
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Une barre de boost pour commencer. Il n'y a plus de limites.
Menu de roi
Comment cela va-t-il se finir ?
Cerise sur le gateau
Prenez le temps d'admirer.
- Des raccourcis déblocables à coups de Takedown signature
- Beaucoup de tracés intéressants
- C'est fluide et rapide
- Une action de jeu haletante
- Un condensé des bonnes idées qui ont fait la renommée de la série
- Téléphoner en jouant sans risquer une amende
- Pas de mode Crash
- Toujours trop de temps de chargement
- Une texture de la route vraiment "old school"
La partie graphique de ce Dominator est des plus intéressantes. Bien en deçà d'un Burnout Revenge version Xbox, ce volet surprend au premier abord. En effet, en plus de constater que le gameplay est très orienté vers les origines de la série, vous vous demandez s'il n'en est pas de même pour les graphismes. La texture de la route fait vraiment penser à celle des tous premiers volets. Elle n'est pas moche pour autant : elle est vraiment dans un style à part. Puis, au long des parties, vous décelez des tonnes de détails dans l'interface et les décors qui contredisent vos premières pensées. Tous ces détails montrent un réel travail effectué sur la partie graphique. Sans que cela ne nuise bien sûr à la rapidité du moteur, ni sa fluidité. D'autant plus que vous jouez en 60Hz. Au final, même si Burnout Dominator se voit amputé du mode Crash, il n'en reste pas moins qu'il excelle. Par la capacité qu'ont eu les développeurs à reprendre tous les bons points de la série pour les mélanger habilement. De plus ils ajoutent la possibilité de changer de musique (les mêmes que Revenge) en cours de route. Mais aussi parce que ses tracés, son style de conduite – quoiqu'un peu surprenant au premier regard – et ses challenges au fort pouvoir addictif font de Dominator un excellent Burnout. C'est déjà beaucoup, et de ce fait il ne peut que compléter votre collection.