- Éditeur THQ
- Développeur Pandemic Studios
- Sortie initiale 27 oct. 2006
- Genres Action, Aventure
Le premier volet des aventures des "Furons" sur Terre, Destroy All Humans!, avait créé la surprise il y a un an de cela. Ironiquement inspiré des films de Science-Fiction américains des années 60, le ton acide et humoristique du jeu a su séduire son public. Sa suite nous arrive sur la même plateforme, et vous entraine 10 ans après la première aventure dans une ambiance de guerre froide. Plus que jamais, il ne faudra pas vous prendre au sérieux pour profiter pleinement de Destroy All Humans! 2.
Vous voila bien seul sur cette planète. Détruisez ses occupants pour vous occuper.
Mars attaque !
Du racket poussé
Votre principal moyen de locomotion. Au premier plan.
Le bonheur, c'est simple comme un coup de fil
Durs à persuader, les policiers peuvent devenir des alliés.
Ouvrez votre esprit à Crypto
Les missions en soucoupe sont de la même trempe que le reste du jeu : délirantes.
Un geste pour nettoyer la planète
Vos armes n'ont de limite que l'imagination des développeurs.
- Ambiance loufoque
- Originalité des actions, et du titre
- Les clins d'oeil et les références cachées
- Les graphismes ne suivent pas
- L'action est parfois répétitive
- Les corps des humains ne permettent pas beaucoup d'actions, ce qui met souvent dans l'embarras
C'est dans ce GTA-like où l'on pratique le body-jacking que vous pourrez évoluer à deux. Bien qu'il soit impossible de parcourir chacun de son côté les niveaux, car vous êtes liés par la distance, vous vous y amuserez beaucoup. Ce sont donc ces petits plus qui font oublier les défauts du jeu. En effet, les graphismes sont pour le moins fades. La palette de couleur est bien utilisée mais l'ensemble a un effet "grise mine". Le changement d'environnement donne le change, un temps seulement et les bugs sont légions. Cependant, cela n'entache en rien l'humour omniprésent du titre. Que ce soit dans ses personnages, ses dialogues ou ses situations, Destroy All Humans! 2 vous paye une bonne tranche de rigolade dans son univers si particulier. Et rien que ça, c'est déjà beaucoup !