Après des vacances bien méritées et mouvementées, après des déménagements (et emménagement), des connexions internet récalcitrantes, des PC qui tombent en panne sans crier garre, des problèmes de logistique, une formation d'administrateur et une invasion de pingouin de l'espace (non, là je déconne !)... Voici enfin le tant attendu compte-rendu de la Japan Expo 2010 ! (Et il était temps ! La Chibi Japan Expo, c'est déjà à la fin du mois !)
On vous a donc concocté un savant mélange entre un long compte-rendu de l'évènement et plein de petites interviews à picorer. Bonne lecture !
Un groupe de prospecteurs planétaires plantent leur drapeau sur un nouveau monde lointain, riche en ressources... Et qui recèle aussi la plus grande découverte archéologique de l'histoire : une ancienne cité, complexe, sculptée au plus profond de la roche. Tout au long de l'album, vous allez suivre l'androïde scientifique David Sereda rattaché à l'équipe chargée d'explorer la cité infestée d'aliens... Euh oui, mai pas tout à fait ! Autant vous le dire de suite : cet Alien ne brille pas par son originalité scénaristique qui empreinte bien plus aux Chroniques Martiennes de Bradbury et autres nouvelles de SF qu'à la saga Alien.
Avec la sortie du film de Tim Burton en mars dernier, on pouvait s'attendre à une exploitation importante du monde de Lewis Carroll[/b]. Mais si c'est souvent le premier volume des aventures d'Alice qui est mis en avant, le second volume, "De l'autre coté du miroir", semble presque ignoré. C'est donc avec un grand plaisir que j'ai pris en main cette adaptation publiée chez Soleil.
Il était une fois, en 1923, un créateur de cache diapositive allemand du nom de Hama. En moins d'un siècle, celui-ci est devenu le leader mondial de l'accessoire avec 540 millions d'euros de Chiffres d'Affaires à la louche, 2524 personnes sous son aile, 17 000 références et présent dans plus de 24 pays, son côté Outre-rhin enfonce le clou avec son penchant positif pour l'écologie. SanDisk, SkullCandy, Raptor, Joby, Thomson et bien d'autres, vous connaissez ces noms prestigieux sous la même tutelle, celle d'Hama. Zoom sur une journée particulière dans la maison France du groupe.
Si vous aimez la musique et que vous êtes au moins trentenaire, vous avez sûrement des vieux vinyles qui trainent dans un coin du grenier. Grâce à la nouvelle platine Lenco L-81, vous allez pouvoir les ressortir pour les écouter, mais surtout les numériser. Imaginez votre tout premier 45 tours dans votre lecteur MP3 ! Eh oui, le générique de Goldorak (ou Candy si vous êtes une fille) vous suivra maintenant partout ! Ok, même s'il y a de grandes chances que votre premier vinyle soit un générique de dessin-animé, je peux me tromper...
Comment ça marche ? C'est très simple : il vous suffit d'insérer une clé USB ou une carte SD dans la platine Lenco L-81, de mettre en route la lecture de votre disque, et d'appuyer sur un simple et très visible bouton d'enregistrement. Ensuite, la platine fait le reste : elle encode au format MP3 votre vinyle sur le support choisi. Si vous êtes bricoleur, la platine dispose aussi d'une sortie digitale USB pour la connecter à un ordinateur avec plus de possibilités de conversion. Comme elle est très légère et pas trop encombrante, vous n'hésiterez pas longtemps ! Notez tout de même que lors du test, cette platine s'est révélée un peu capricieuse pour accepter nos clés USB (essai avec différents modèles). Mais rien ne dit que ça soit un souci récurrent. Il faut dire que notre exemplaire de test est probablement passé entre de nombreuses mains avant nous.
Côté design, ce matériel est très propre : enrobage gris métal, quelques chromes pour que ça brille, bref une classe qui s'intègrera facilement à votre bureau high-tech ! Mais vous vous doutez bien que cette classe a un prix : 160 €. En parlant du prix justement, si on le compare aux caractéristiques de la bête, il est dommage que de simples enceintes n'aient pas été intégrées. En effet, vous devez disposer de hauts-parleurs avec des sorties jack pour profiter de ce matériel comme il se doit, soit un investissement supplémentaire à prévoir si ce n'est pas le cas.
La platine Lenco L-81 est disponible sur divers points de ventes aux alentours de 160 €.
Comme d'habitude, je vous propose des tests hardware pour vous dénicher les meilleurs produits du moment. Et aujourd'hui, j'ai l'honneur de vous proposer le test d'un casque très girly, tout de rose vêtu, et d'un Gamepad compatible PS2, PS3 et PC, répondant au doux nom de "Hawkins". A surtout ne pas confondre avec la très séduisante Jennifer Hawkins !
Les Geeks est une série pré-publiée dans Lanfeust mag qui nous raconte les mésaventures « geekienne » d'employés de chez Data Transfer Company. Les Geeks font partis de ces bandes-dessinées sans prétentions qui tentent de vous divertir sur un thème donné. Le format employé : gag d'une page, format classique de la BD humoristique européenne.
Ici, on ne peut pas reprocher aux auteurs de mal faire leur travail. Les gags dessinés par Gang ont le mérite d'exister, le dessin de Thomas Labourot met bien en avant les personnages et il agrémente son décor de petits clins d'œil. Quant aux couleurs de Lerolle, elles ne vous agressent pas les yeux. En somme les auteurs ont fait le travail pour lequel ils sont payés et l'ont fait honnêtement.
Mais tout ceci, ne vous dit pas si vous apprécierez la lecture de cette série. Pour cela je vous ai concocté un petit test de personnalité pour vous aider...
Après avoir testé les fabuleuses souris de chez Raptor-Gaming, plongeons-nous maintenant dans l'univers de leur casque avec le Raptor-Gaming H2. Un casque 5.1 pour Gamer ! Alors, que nous réserve ce casque ? Vaut-il vraiment de coût d'investir pour un casque 5.1 à la place d'un casque Stéréo ? Et serez-vous réellement isolé du monde extérieur et surtout de votre copine qui vous crie dessus pour venir à table ? Réponses tout de suite !
Après vous avoir proposé le test de deux souris de chez Raptor-Gaming, je vous propose de faire un tour chez l'un des plus réputés dans le domaine des périphériques de gamer, Razer, avec le test de l'un de leur ancien modèle, la Razer – Lachesis. Même si elle date de quelques années vaut-elle toujours le détour ?
Comme toujours, Razer nous offre une souris tape à l'œil ! Elle reste très sobre avec son noir profond mais qui a quand même un coté très classe avec ses courbes incurvées. On ne peut que tomber sous son charme. Et comme d'habitude, Razer affiche leur marque sur la souris grâce à une led sous la coque. Leur logo s'affiche comme un battement lent de cœur qui rend presque la Lachesis vivante. Heureusement pour les personnes horripilées par cet effet de style, c'est désactivable dans le logiciel fourni avec la souris. Sinon, côté matériel, la Lachesis est utilisable par les droitiers et les gauchers, possède un capteur laser allant jusqu'à 4000 dpi, deux gros boutons antidérapants, des patins en téflon, un ports USB en plaqué or (pour se la péter !) et un cordon anti-enchevêtrement léger d'environ deux mètres. Et vous me direz : "Les boutons, tu n'en parles pas ?! ". Mais si j'y arrive. Une peu de patience ! Alors... une molette rien de plus classique, quatre boutons au dessus de la souris dont le bon vieux clic-droit et gauche. Et pour finir, deux boutons de chaque coté de la souris. Soit un total de neuf boutons. Bon, après ce n'est pas très réaliste de dire neuf ! Sept serait plus juste car selon votre main "dominante", je pense qu'il vous sera très difficile d'utiliser les boutons situés sous votre auriculaire, sauf avec beaucoup d'entraînement. Mais il ne faut surtout pas compter dessus au début de votre utilisation de la Lachesis.
"Je m'appelle Alice, j'ai le Cœur rêveur, j'imagine en esquisse, un monde de bonheur..." (air connu). Vous connaissez certainement son histoire, maintes fois narrée. Née de l'imaginaire du révérend Charles Lutwidge Dodgson, un professeur de mathématiques d'Oxford, que le grand public connait sous le non de Lewis Carroll.
Aujourd'hui, je vais vous parler de la version publiée par Soleil US Comics. Il faut déjà applaudir la volonté des auteurs, Leah Moore et John Reppion, de respecter au plus près l'histoire contée par Lewis Carroll. N'omettant aucun détail de la trame principale, ils nous livrent des pans de dialogues tout droits tirés du livre. L'ensemble donne une forme très littéraire. Cette volonté se ressent aussi dans le dessin d'Awano. On perçoit également tout un travail de recherche autour des gravures de John Tenniel pour la mise en page et le character design.