Qui imaginait lors de la sortie de Diablo 2 que le jeu aurait toujours un tel succès aujourd'hui. Sacred arrive aujourd'hui avec une étiquette de Diablo-killer qui lui colle mal à la peau. Car le jeu d'Ascaron ne se limite pas à un vulgaire plagiat, loin de là.
Quand comparaison n’est pas raison
Entre simplicité et classicisme
Difficile de rater une quête avec ces symboles pour indiquer les personnages importants
Evolution mais pas révolution
Un carnet de bal bien rempli
Soupe à la grimace
Te libérer certes, mais pourquoi tu es déjà en dehors de ta cellule ?
La même chose à plusieurs
Un vampire et ses compagnons de jeu
- La taille de l'univers et les quêtes annexes
- L'humour et les clins d'oeil du jeu aux titres célèbres (Baldur's Gate ou Diablo entre autre)
- Les grosses batailles en pleine ville...
- La technique un peu défaillante
- L'intelligence artificielle proche de celle d'une amibe pour certains monstres
- ...le côté confus et le manque de précision des gros combats
Après une longue période entièrement domminée par les deux hack & slash de Blizzard, Sacred réussi à venir titiller le maitre, tout en se différenciant suffisement pour attirer de nouveaux joueurs. Bien que moins RPG que Divine Divinity, le jeu d'Ascaron compense avec une partie action autrement mieux réussie. Malgré les quelques bugs et les petits problèmes de réglage dans l'équilibre des différentes classes qui minent encore le jeu, Sacred se révèle réussi, sans renier ses origines par de nombreux clins d'oeil que les connaisseurs découvriront avec plaisir.