Wagner en jeu vidéo
- Éditeur Bethesda
- Développeur Bethesda Game Studios
- Sortie initiale 11 nov. 2011
- Genre Rôle
Vous savez que vous êtes vieux quand les joueurs de moins de vingt ans n'ont aucune idée de ce que représente l'île de Vvanderfell ou de ce qu'est un put*** de Cliff Racer. Ces chères têtes blondes ont grandi avec le très "next gen" Oblivion qui, malgré sa grande liberté, peinait à être intéressant. L'annonce d'un cinquième épisode pose alors un dilemme au vieux con qui sommeille en nous : renâcler le passé ou embrasser le changement ? Penchons-nous ensemble sur la réponse.
C'est le grand retour des loups-garou !
Panique à Krisprolls City
Le retour du pâtissier-magicien
Du dragon, vous allez en bouffer.
Lifting en profondeur
La faune est pour le moins exotique.
- La liberté de mouvement, d'action, bref de tout
- Un contenu toujours aussi énorme
- Le lifting qui dépote
- Tamriel, univers toujours aussi dense
- La communauté et ses centaines de mods
- Pas grand chose de neuf sous le soleil
- Skyrim, région farcie de clichés
- L'interface abominable
Lorsqu'il faut sortir un titre aussi attendu que The Elder Scrolls V : Skyrim, l'erreur est interdite. Donc quelque part, il est difficile de reprocher à Bethesda d'avoir uniquement joué la carte du peaufinage graphique sans s'attaquer à un nouveau moteur. Il est parfaitement légitime de jouer sur les stéréotypes vikings pour créer l'exotisme. D'aucuns diront que l'équarrissage de l'univers était nécessaire. Hélas, à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Le jeu reste chronophage, gigantesque et débordant de contenu mais espérons que les prochaines productions Bethesda soient moins sages.