- Éditeur THQ
- Développeur Funatics Development
- Sortie initiale 21 juin 2002
- Genre Aventure
Un jeu s'inspirant aussi bien des Pokemons que de Tolkien, il fallait y penser. Les Allemands de Funatics nous ont donc préparé un coktail pour le moins original, même si au final son goût s'avère un peu amer.
Il y a quelque chose de pourri à Zanzarah
Zanzarah is art
JumJum et Tinezard
Des fées qui savent tirer
Tirer n’est pas jouer
Tout n’est pas blanc au pays du Druide Blanc
Pour les collectionneurs les plus acharnés
- Les décors
- La musique enchanteresse
- La moitié des niveaux multijoueurs
- Le chapeau du druide blanc
- Les combats
- La maniabilité des fées
- Les niveaux de combat en solo, sans grand intérêt
- La nécessité de parler allemand pour jouer en multijoueur
Après Zanzarah, on garde un goût amer en bouche. D'un côté le jeu a été agréablement élaboré, l'immersion dans le monde et dans l'histoire est rapide et totale. Et puis de l'autre côté les combats sont fades et sans beaucoup d'intérêt, alors qu'ils sont extrêmement nombreux et représentent plus d'un tiers du temps de jeu. Alors on hésite, le scénario fait monter de deux graduations l'intérêt puis les combats le redescendent d'une graduation et demi, et ainsi de suite. Le pire est que sur la fin ce n'est plus qu'un enchaînement incessant de combats, avec trois épiques combats finaux, et la seule solution pour gagner est d'entraîner et de réentraîner ses fées, avec d'autres combats ayant encore moins d'intérêt. Resteront ceux qui se laisseront happer par la folie des niveaux, qui prendront un pur plaisir à monter leurs fées jusqu'au niveau 50 et au-delà, parce qu'ils ont la folie des chiffres.