- Éditeur Deep Silver
- Développeur GSC Game World
- Sortie initiale 29 août 2008
- Genre First Person Shooter
Les bons FPS connaissent souvent des suites qui prolongent habilement le succès commercial du premier volet. Ces suites ravissent également les joueurs, heureux de retrouver leur héros ou tout simplement l'univers dépeint dans le jeu. C'est maintenant au tour de S.T.A.L.K.E.R. d'accueillir un petit frère, qui, pour une fois, est un prologue de l'histoire originelle. Si vous souhaitez connaître les évènements qui feront de la Zone ce qu'elle sera au début de Shadow of Chernobyl, enfilez votre combinaison antiradiations, et suivez le guide.
La zone est encore plus dangereuse la nuit.
Là où tout a commencé
Quoi de neuf ?
Les améliorations étant coûteuses, des choix sont nécessaires.
La guerre des factions
Vous aidez une faction si vous participez à un de leurs raids.
Beau et immersif
Les rayons du soleil sont magnifiquement rendus en début et fin de journée.
Bienvenue à Bugnobyl
Même avec beaucoup d'entrainement, difficile d'être habile dans le lancer de grenades.
- Des graphismes très soignés
- Un univers immersif
- Une symbiose parfaite entre les FPS et les jeux de rôle
- Peu accessible aux néophytes
- L'IA mal réglée
- Des finitions à revoir
En définitive, S.T.A.L.K.E.R. : Clear Sky est de la même veine que son aîné : imparfait, mal fini, austère, voire un peu frustrant pour les joueurs occasionnels. Pourtant, son ambiance sans égale et ses éléments issus des jeux de rôle le placent indéniablement au-dessus du lot. Si vous avez apprécié le premier volet, il en sera de même avec cette préquelle. Par contre, il est inutile de préciser que les réfractaires à Shadow of Chernobyl n'ont absolument aucune raison de s'intéresser à ce retour dans la Zone. Enfin, si l'univers vous est inconnu et si votre expérience et votre patience sont sans égales, il est peut-être temps de prendre conscience que les FPS modernes ne se limitent pas à Crysis ou Bioshock.