- Éditeur Vivendi Universal
- Sortie initiale 3 mars 2006
- Genre First Person Shooter
Marre d'atomiser les Stroggs, des Skaarjs et des mutants ? Envie d'un brin de réalisme ? Vous vous souvenez de vos assaults pour sauver vos citoyens des truands à la tête de votre groupe de SWAT ? Si ça vous manque, ça tombe bien : SWAT 4 – The Stetchkov Syndicate vous propose de vous remettre aux commandes d'un des tactical shooters les plus réussis de l'année dernière. De nouvelles missions à boucler avec un arsenal plus riche suffiront-elles à vous faire ré-enfiler votre combinaison noire moulante ? Venez donc avec nous découvrir The Stetchkov Syndicate, histoire de voir si vous allez rempiler.
Avec un mandat, on peut aller où on veut. Oui, même là.
Tout va à vau-l'eau
Tony, jh, 25 ans, combi noire, très bonne vision nocturne.
On ne change pas une équipe qui gagne : le menu contextuel de SWAT 4 est toujours là.
Du boulot pour les super héros
Bug ou feature ? La combi Predator permet de jouer avec les lois de l'optique.
P.A.I.N., Le mantra du SWAT
Le fameux plan des lieux, celui qu'on aimerait pouvoir consulter en cours de mission. Et bien non, faudra le mémoriser.
Le père Noël est passé
Manque plus que Scully et on se croirait dans X-Files.
Ca fait du bien là où ça faisait mal
Le fameux coup de poing calmeur de récalcitrants aux menottes.
- On prolonge la vie de notre SWAT4
- Une vision nocturne !
- On peut enfin forcer les civils à se rendre
- C'est plus un pack de missions qu'un véritable add-on
- Sept missions, c'est un peu court pour le prix
- Toujours aucune localisation, est-ce bien légal ?
The Stetchkov Syndicate améliore aussi le mode multijoueur en proposant de nouveaux modes de jeu – rien de révolutionnaire – mais surtout en étendant la limite de joueurs par partie de 5 à 10 (ce qui pour le coup est vraiment une très bonne idée). Donc, que du positif ? Oui, mais The Stetchkov Syndicate reste un simple add-on qui redonne envie de jouer à SWAT 4 à ceux qui avaient aimé le premier opus. Les autres resteront toujours de marbre devant la difficulté du titre, la monotonie des cartes (toujours de nuit, toujours dans des bureaux/entrepôts/boîtes de nuit). En fait, on reste un peu sur sa faim et on ne peut pas s'empêcher de penser que mixer le scénario et les cartes d'un Raven Shield avec les possibilités tactiques d'un SWAT 4 aurait produit un grand jeu. Bon, on peut toujours rêver.