Pariah, c'est le futur rejeton de Digital Extremes, qui tout le monde le sait a beaucoup trempé dans la franchise Unreal, et a maintes fois plongé les mains dans le moteur d'Epic. Aussi on s'explique très facilement l'impression de déjà-vu qu'on ressent en regardant les images de Pariah générées par l'heavily (?) modified Unreal™ Engine.
Donc c'est joli, et réconfortant comme une tapisserie qui ressemble à celle qui ornait les murs de notre chambre, quand on n'était qu'un nourrisson. Bon maintenant les gars, il va falloir habiller cette belle coquille, et mettre une étincelle derrière le plus beau regard du monde a toujours été une entreprise si ce n'est difficile, tout du moins hasardeuse.
Pour réussir ce tour de force, sont l'issue fera de Pariah soit un hit, soit un bel économiseur d'écran, nos amis de Digital Extremes (oui, on a énormément d'amis dans ce milieu) misent sur une IA de groupe particulièrement évoluée, et des armes évolutives.
Un peu faiblard le plan ? Si tout celà s'appuie sur une scénario en béton, non, ça devrait pouvoir donner quelque chose de très sympa. Si le creux de l'histoire de met en exerge que le rag doll de l'HAVOK™, on pourra effectivement se dire que le regard est malheureusement resté terne.
Pariah, le jeu qui mériterait un background. Fin du suspens, printemps 2005.