- Éditeur Rockstar Games
- Développeur Rockstar Games
- Sortie initiale 31 oct. 2008
- Genre Action
En offrant une séquelle à Manhunt, les développeurs de chez Rockstar tentent une nouvelle fois de vous proposer un voyage mémorable dans l'ultra-violence. Seulement, pas moins de cinq ans se sont passées depuis le premier volet. Reprendre le même concept après tant d'années n'est il pas dangereux ? Trop le modifier pour essayer d'en faire quelque chose de nouveau peut l'être aussi. Quoiqu'il en soit, surtout si vous ne connaissez pas Manhunt, passez jeter un œil sur ce qui pourrait prochainement hanter vos nuits.
Un jeu plein d'humanité...
Vite, un clou rouillé dans les cervicales
Tout ce qui bouge peut nuire et est donc à détruire
Les ennemis rencontrés reflètent un univers très "gang"
Des environnements propres, à défaut d'être propres
Au cours de ces scènes vous en apprenez sur vous-mêmes. Jusqu'à la dernière minute...
Des bugs vieux comme Hérode : de qui se moque t'on ?
Surprenez vos ennemis lorsque vous n'avez pas la puissance de feu nécessaire.
- Beaucoup de morts sanglantes
- De nombreuses scènes ne peuvent vous laisser insensible
- Une ambiance parfaitement rendue et ce malgré les graphismes qui datent
- Un filtre visuel permanent vite gênant
- Des angles de caméra mal négociés
- Des combats à l'arme à feu qui ne laissent pas beaucoup de choix quant au sort de vos ennemis
- Les niveaux linéaires
Manhunt 2 n'est pas aussi basique qu'il n'y paraît de prime abord. Fort heureusement pour lui – et pour nous – car sans cela nous assisterions à une collection de "Fatalities" à la manière d'un Mortal Kombat. Passées les premières appréhensions dûes à un univers glauque et des angles de caméra pas judicieux pour un sou, vous gagnez à parcourir ce monde sans pitié. Seulement, vous passez à un autre stade qui annule le précédent. Un peu à la manière du rythme du jeu qui tantôt vous passionne, puis vous ennuie, avant de vous passionner de nouveau. Certes "passionner" est un bien grand mot. Pour mieux situer le titre, disons qu'il mérite la moyenne mais qu'il est difficile de mieux le noter car il est pourvu de trop nombreux défauts.