MEGGAS 2020 - davide

À l'heure où le store de la Switch nous fait découvrir quelques simulations polissonnes de nos amis japonais, il n'est pas anodin que les galipettes aux couleurs chatoyantes et vives des « Idolaspheres » nous parviennent. L'improbable crossover entre Shin Megami Tensei X Fire Emblem retente sa chance sur Switch, et c'est tant mieux. Une jouabilité solide, une durée de vie qui saura nous occuper jusqu'à l'arrivée de Persona 5 : Royal et un univers chaud bouillant qui réchauffera notre hiver.

C'était le jeu plus attendu de cette seconde partie de la décennie passée et voilà que même en 2020 je trépigne de le recommencer avec sa myriade de bonus et surtout sa traduction intégrale. Persona 5, c'est la quintessence d'un genre, un inépuisable réservoir d'extases et de prétextes pour y revenir. S'ils l'annoncent sur Switch, sans aucun doute il sera sur mes MEGGAs de la décennie à venir.

Je me demande encore comment je suis allé au bout du premier épisode et pourtant... J'ai hâte d'y retourner. Maintenant que je sais à quoi m'attendre, j'en redemande. Pire, maintenant que l'hommage a été rendu à Twin Peaks et qu'il n'y a plus aucune obligation de phases de tir, j'attends que SWERY libéré de toute contrainte se lâche et que sans concessions, me montre ce qu'il en est réellement de Deadly Premonition.